Un certain stress arrivé à Sydney, après beaucoup de recherches de logement, je me suis imaginer devoir payer une chambre à 25 dollars.
Je passe alors la douane. Surprise, je constate une discrimination « barbiale ». Me voilà engagé dans une fouille intégrale, et une palpation corporelle. L'impression d'être un criminel, fouillé de la tête au pieds, photos d'appareil photo et ordinateur scrutés avec soin, trousse de toilette, chaussures, je suis passé au peigne fin.
J'avais « par mégarde » emporté 8 paquets de cigarettes indonésienne, autorisé seulement à 2, j'étais en faute « GRAVE » (100dollars d'amende). Puis détecteur de THC (pour les drogues), pour finir par me faire engueuler comme jamais de sourire naïvement à leurs interrogations (Saleté de timidité , elle m'aura jouer des tours).
Dans ma fiche d'immigration, je n'avais bien sur pas déclaré de cigarettes, ni d'objet en bois (guitare), ni de médicaments (une trousse pleine à craquer) ! Après une longue explication (tour du monde, pas d'argent, transit de 4 jours en Australie) il me laissa partir avec mes cigarettes, mes médocs, et ma guitare. (La bonne étoile)
Puis grâce à Justine (Une amie Malouine), je prend la direction de Maroubra Beach ou habite sa tante, pour passer ma première nuit sur les « RICHES » terres Australiennes.
Premières heures australiennes, dans l'eau, long board au pied, 2h de surf à Marboubra Beach. Le rêve.
Je dors alors bercé par les vagues, dans une maison vue sur mer.
Le lendemain après une longue ballade sur la splendide côte de Sydney (Impensable de trouver une côte si bien préservé, si bien entretenu, on s'attend plutôt à trouver une côte ravagée par la pollution et par des centaines de lotissements), de Marboubra à Bonti Beach, je pars à la rencontre de Quentin, un ami de Benjamin (stoppeur), venu faire une année de Césure en stage à Sydney.
Il me transmet alors ses bons plan et nous nous retrouvons pour une bonne soirée dans un bar à boire des bières à 3€.
Visite, par la suite, de la City, Opéra, jardin Botanique, quartier « ancien », grandes avenues commerciales. Un puissant dynamisme règne dans cette ville ou la population a l'air motivé, optimiste, et souriante.
Je prépare alors mes bagages pour quitter DÉJÀ  et avec regrets, ce continent autonome, pour la Nouvelle Calédonie (TOM territoire d'outre mer français), île française du Pacifique qui inspire lagons, coraux, kitesurf, surf, plongé, bateau.. Une odeur paradisiaque.